XXXXXXX XXXXX
XXXX XXXXXX
40XXX XXXXX

                                      XXXXXXX, le 28 novembre 2007


                       à Madame la Directrice d'agence
                         ANPE de Mont-de-Marsan
                         33 bis avenue Henri Farbos
                         40000 Mont-de-Marsan



n° de dossier : XXXXXXXY

Vos références :
Affaire suivie par : TARRIER JACQUELINE
Enregistré sous le N° : 40012GL0716282


Objet : votre courrier daté du 24/11/2007, oblitéré le 26/11/2007 à 
Arras, reçu le 28/11/2007 à YYYY - Absence à entretien mensuel 
personnalisé.


Madame,

je reçois un courrier papier, ce jour, sous votre responsabilité et en
provenance de l'informatique d'ARRAS, menaçant de suspendre mon
inscription ou de me radier. Je n'apprécie pas du tout ces menaces
écrites, faites en votre nom, dans le contexte que je vais décrire.

Si ce courrier « automatique » a été envoyé, c'est parce que la 
conseillère concernée, à savoir MME CHERI-ZECOTE CLAIRE, votre salariée, 
n'a pas fait son boulot. (Ou l'a trop bien fait, selon le point de vue 
d'où l'on se place) et que ma communication vers l'ANPE, à propos de cet 
entretien n'a pas été prise en compte.

MME CHERI-ZECOTE CLAIRE a saisi sur l'informatique le compte-rendu du
précédent rendez-vous de Suivi Mensuel Personnalisé ayant eu lieu le
23/10/2007. Ceci fait, cette conseillère a donc FAIT ÉMETTRE une
convocation pour le 20/11/2007 à 15h00, date choisie par elle-même, 
pour les raisons qui la regarde.

MME BERNEDE, salariée de vos services, transmettait, (par le répondeur
de l'association XXXXXX, 05 58 XX XX XX) le message
suivant, dûment conservé, constaté par plusieurs témoins :

« Bonjour, message pour XXXXXXX XXXXX. Je suis MME BERNEDE de l'ANPE. Je 
suis désolée, mais nous sommes obligés d'annuler votre rendez-vous de ce 
jour à 15h00 avec votre conseillère qui est absente. Je vous remercie de 
votre compréhension et nous vous recontacterons ultérieurement pour un 
nouveau rendez-vous. Au revoir. » 20/11/2007 - 14:02.

Ce message qui aurait pu constituer une bonne action peut aussi 
contribué à en être une nuisible, selon la suite des évènements.

J'ai adressé un courriel daté du 22/11/2007 16:12:27 UTC dont l'ID est
20071122161226.GA1871@XXXXXXXXXXXXXXXXXXXX par l'IP XXX.XXX.XXX.XX à
destination de c.cheri-zecote(chez)anpe.fr . Avec des copies par sécurité
qui sont bien arrivées à destination. N'importe quel administrateur
système de anpe.fr pourra attester de ma bonne foi, en plus de
l'hebergeur XXXXXXXXXXXX.XX utilisé pour l'expédition du message, qui 
en accuse réception à 23h41 CET, heure à laquelle il est également 
apparu sur les serveurs de anpe.fr ce 22/11/2007.

A ce jour, non seulement vos services, contrairement à leur déclaration,
ne m'ont pas recontacté pour me proposer un nouveau rendez-vous en
remplacement, mais m'adressent une lettre de menace de suspension ou de
radiation, en votre nom.

Puisque je détiens les éléments de preuves de ce coup fourré, et que de
telles malversations sont reproduites à répétition, je transmet, de
nouveau, ce dossier et ce courrier à mon défenseur, selon son conseil,
afin de pouvoir parer aux éventuelles suites fâcheuses qui pourraient
être données.

Ces actions préjudiciables et répétées à l'égard de chômeurs comme 
moi-même sont maintenant clairement caractérisées. Et il semble que 
personne ne s'efforce d'y apporter remède, quelques soient leur 
provenance et leur raison d'être.

Par de tels actes, les services de l'ANPE deviennent indignes de
confiance. Et la confiance est plus facile à détruire qu'à construire.

J'attend, dans un délai raisonnable, de connaître vos décisions écrites
sur ce problème et me concernant, après quoi, je serai en mesure de
prendre toutes dispositions utiles.


Je vous prie d'agréer, Madame, mes salutations distinguées,




XXXXXXX XXXXX
demandeur d'emploi.


NB: cette affaire peut être portée, le cas échéant, à la connaissance de
toute autre Autorité, ainsi que sur la place publique à la connaissance
de citoyen-ne-s.