28 novembre 2000 :
Un autre professionnel
de la CAF intervient par lettre. Le ton employé est respectueux.
La CAF annonce qu'elle consenti à étudier le dossier et à envisager des
effets de rétro-activité, à propos de l'allocation logement.
Formulation écrite, qui n'engage à rien puisqu'elle ne garantit en rien que des droits soient effectivement ouverts. Ni de quels montants il pourrait s'agir.
Puisque des droits seraient ouverts, pourquoi ces réserves, ces prudences dans la formulation, au lieu de communiquer en toute transparence et en toute franchise avec le citoyen allocataire ?
Volonté de pouvoir, d'Autorité ?
Volonté de maintenir les allocataires dans l'obscurité ? Mépris envers les petites gens ?
Des quittances de loyer de 3 années
(mois de janvier) sont demandées.