R.M.I.
Redevenons
Moins Isolés !
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AU
COEUR DU PROBLEME SOULEVE
(question
de droit)
Si
un allocataire du RMI fait la preuve auprès de la CAF qu'il est
hébergé à titre payant.
Si
son dossier de demande d'allocations logement est en cours d'instruction
par la CAF avec attente de pièces justificatives détenues
par le propriétaire, avant d'être examiné par la CAF
pour déterminer si des droits sont ouverts ou non.
S'il
est bien entendu qu'en l'absence de droit à l'allocation logement,
le droit au forfait logement RMI est ouvert.
S'il
est bien entendu que le versement d'une allocation logement entraîne
la suppression du versement du forfait logement RMI.
La
CAF, au cours de cette période intermédiaire a-t-elle le
droit de supprimer le versement du forfait logement RMI versé jusqu'alors
(soit -12% d'un revenu en dessous du seuil de pauvreté), tandis
qu'aucune allocation logement n'est encore servie ?
La
CAF des Landes m'a menti !
Cette
institution n'a pas de parole, pourquoi lui accorderais-je ma confiance
tant qu'elle ne prouve pas sa crédibilité par des actes constatables
?
Deux
dossiers distincts me concernent :
-
un dossier d'aide au logement. En cours de traitement à l'initiative
de la CAF. J'ai transmis le 5 décembre 2000, au propriétaire
de mon logement, copie de la demande de la CAF de 3 quittances de loyer.
La "balle est dans le camp" du propriétaire.
-
Dans l'attente du réglement de ce dossier d'aide au logement, persiste
la suppression arbitraire par la CAF du forfait logement lié au
versement du RMI.
Le
montant du RMI pour une personne seule est fixée à 2552 Fr
par mois. Les personnes qui sont hébergées à titre
gratuit sont l'objet d'une retenue de 306 Fr par mois correspondant à
un forfait logement (donc versement RMI = 2246 Fr par mois).
Depuis
l'instruction de mon dossier RMI, ce forfait m'a toujours été
versé. A juste titre, puisque je ne suis pas hébergé
à titre gratuit : je paie un loyer mensuel.
Au
5 octobre 2000, subitement, le contrôleur de la CAF l'a supprimé
avec effet à partir du 1er octobre 2000.
J'ai
demandé un entretien, qui a finalement été accepté
le 10 novembre 2000. Le contrôleur, lors de cet entretien m'a garanti
qu'elle rétablissait avec effet au 1er octobre le forfait logement
RMI qu'elle avait supprimé (306 Fr).
La
CAF des Landes a aussi déclaré au Député de
ma circonscription que ce forfait serait rétabli.
La
CAF des Landes possède une attestation de loyer complétée
et signée du propriétaire de mon logement en date du 26 octobre
2000.
La
CAF des Landes a enquêté auprès de mon propriétaire
qui m'a bien confirmé cette investigation lors d'une rencontre le
5 décembre 2000.
En
conclusion, la CAF des Landes possède toutes les preuves nécessaires
attestant que je ne suis pas hébergé à titre gratuit,
mais que je paie un loyer.
Mes
relevés de compte de novembre et de décembre font état
d'un versement de RMI de 2246 F. (Amputé de 306 Fr de forfait logement).
Puisque
la CAF possède les preuves nécessaires au versement d'une
prestation, pourquoi ne rétablit-elle pas cette prestation aussi
rapidement qu'elle la supprime ?
Les
charges de logement, et toutes les autres dépenses de budget précaire
sont incompressibles pour un allocataire en difficulté sociale.
Pourquoi cette institution s'efforce-t-elle de se conduire de manière
insensible à l'équilibre budgétaire des allocataires
?
Quelles
motivations non avouées poussent un tel organisme à se conduire
de cette manière ?
Email
: arc.en.ciel@free.fr
(Landes)
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